News

Le professeur Andrew Gonzalez (Biology) dans Le Devoir

Published: 26 April 2023

On le sait désormais : la préservation de l’environnement ne s’arrête pas à la simple réduction des émissions de carbone dans l’atmosphère. Grâce, notamment, à la tenue de la Conférence de l’ONU sur la biodiversité (COP15) à Montréal en décembre 2022, l’importance de la protection de la biodiversité est aujourd’hui bien présente dans l’actualité. Pour des chercheurs comme Andrew Gonzalez, professeur de biologie à l’Université McGill, il était plus que temps.

Passionné de biodiversité, le chercheur consacre son temps à la recherche de solutions pour en freiner le déclin. Il se préoccupe entre autres des manières de recoller les morceaux de ce qu’on appelle les « habitats fragmentés », là où des écosystèmes ont été séparés par le développement du réseau routier, l’agriculture ou l’exploitation forestière, entre autres. Déjà, en 2015, Andrew Gonzalez démontrait, dans une étude parue dans la revue Science Advances, que « la fragmentation des habitats réduit la biodiversité de 13 % à 75 %, et ses effets sur les écosystèmes se multiplient au fil du temps ».

Lire l'article complet sur Le Devoir.

Back to top