CLEA : Conversations sur l’éthique des affaires – L’éthique des affaires est-elle un oxymore?
L’éthique des affaires est-elle un oxymore? Est-il possible d’exploiter une entreprise de manière éthique? Jo-Ellen Pozner répondra à la question dans cette première édition de CLEA : Conversations sur l’éthique des affaires. Elle présentera ses recherches sur les fabricants de chocolat de la fève à la tablette et explorera certains manquements éthiques commis récemment par WeWork, FTX, Theranos et Twitter. Des sujets comme les fonds de capital de risque, l’orgueil démesuré et la réglementation seront aussi traités. Cet événement est une présentation du Centre Laidley d’éthique des affaires.
Date et heure : Le jeudi 16 mars 2023, de 16 h à 17 h 30
Emplacement : Salle de bal du Cercle universitaire (3450, rue McTavish, Montréal (Québec) H3A 1X9)
Cet événement se déroulera en anglais.
À propos de Jo-Ellen Pozner
Jo-Ellen Pozner s’est jointe à l’École de commerce Leavey de l’Université Santa Clara à l’automne 2016. Auparavant, elle était professeure à l’École de commerce Haas de l’Université de Californie, à Berkeley.
Ses recherches portent sur l’éthique organisationnelle, la gouvernance d’entreprise, l’évaluation sociale et les mouvements sociaux. Elle s’intéresse aux processus par lesquels nous évaluons et tentons de comprendre les autres, particulièrement dans les cas d’actes répréhensibles et de scandales. Un autre de ses domaines d’intérêt est le lien entre les mouvements sociaux et les marchés, y compris la recherche sur les mouvements qui font la promotion des aliments biologiques, les fabricants de chocolat de la fève à la tablette, les microbrasseries et la radio FM de faible puissance. Enfin, elle s’intéresse aux cas de mauvaises conduites organisationnelles, particulièrement à leurs effets sur la haute direction et les conseils d’administration des entreprises concernées.
La Pre Pozner a obtenu un doctorat en gestion des organisations de l’École de commerce Kellogg de l’Université Northwestern. Elle est titulaire d’un MBA de l’École de commerce Stern de l’Université de New York, d’une maîtrise en économie de l’École d’études internationales avancées de l’Université Johns Hopkins et d’un baccalauréat ès sciences en service extérieur avec spécialisation en économie internationale de l’École de service extérieur de l’Université de Georgetown.
