Updated: Wed, 10/02/2024 - 13:45

From Saturday, Oct. 5 through Monday, Oct. 7, the Downtown and Macdonald Campuses will be open only to McGill students, employees and essential visitors. Many classes will be held online. Remote work required where possible. See Campus Public Safety website for details.


Du samedi 5 octobre au lundi 7 octobre, le campus du centre-ville et le campus Macdonald ne seront accessibles qu’aux étudiants et aux membres du personnel de l’Université McGill, ainsi qu’aux visiteurs essentiels. De nombreux cours auront lieu en ligne. Le personnel devra travailler à distance, si possible. Voir le site Web de la Direction de la protection et de la prévention pour plus de détails.

Nous avons déménagé

L'Institut du Cancer Rosalind et Morris Goodman est désormais situé sur www.goodmancancer.ca

Visitez le nouveau site

 

 

Imed Eddine Gallouzi, PhD

Titre(s) académique(s): 

Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman
Département de biochimie
Université McGill

Coordonnées
Adresse: 

Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman
Pavillon McIntyre des sciences médicales
Bureau : salle 915B; Laboratoire : salle 915
3655, promenade Sir-William-Osler
Montréal (Québec)  H3G 1Y6

Téléphone: 
514-398-4537
514-398-4989 (labo)
Numéro de fax: 
514-398-7384
Adresse de courriel: 
imed.gallouzi [at] mcgill.ca
Prix et distinctions: 

1. Bourse salariale FRSQ (Junior 1), 2002-2006
2. Chaire de recherche du Canada de niveau 2 en système d’information cellulaire, 2002-2012

Publications (sélection): 

Le professeur Gallouzi étudie des approches novatrices pour provoquer la mort de cellules cancéreuses et la prévention de l’atrophie musculaire causée par le cancer (cachexie cancéreuse) :

1)    Mécanismes d’action de la protéine HuR dans la croissance et la mort cellulaire – La progression et le développement du cancer sont dus à une croissance désordonnée et excessive ainsi qu’à la résistance à la mort cellulaire.  Un des points de mire de notre laboratoire est HuR, une protéine impliquée dans la croissance et la mort cellulaire.  Il faut indiquer qu’une croissance excessive des cellules cancéreuses est liée, en partie, à une abondance d’HuR.  Cependant, nous avons démontré qu’HuR joue un rôle important dans la mort de cellules exposées à certaines conditions délétères (Mazroui et autres, 2008).  HuR favorise alors la mort plutôt que la survie.  De plus, nous avons découvert que lorsque les cellules sont exposées à certains médicaments contre le cancer, la protéine HuR se trouve scindée en deux (Mazroui et autres, 2008; von Roretz and Gallouzi, 2010).  Ici encore, la mort cellulaire est encouragée.  Les produits de clivage demeurent dans la cellule et retiennent leurs fonctions respectives.

2)    Le clivage d’HuR et son rôle probable dans la résistance à la chimiothérapie – Nous avons remarqué que lorsque les cellules acquièrent la résistance aux agents chimiothérapeutiques, le clivage d’HuR est compromis.  Nos expériences ont démontré que lorsque nous traitons des cellules de cancer du sein résistantes aux agents chimiothérapeutiques et donc où HuR n’est pas clivé, avec les deux produits de clivage d’HuR, ces cellules redeviennent sensibles aux médicaments et meurent.  Avant d’utiliser ces peptides chez les humains, nous les testons dans un modèle de cancer du sein chez la souris, pour nous assurer qu’ils induisent bel et bien la mort des cellules tumorales.  Nous espérons que l’étude des effets d’HuR et de ses produits de clivage sur la mort cellulaire nous permettra de découvrir de nouvelles cibles thérapeutiques pour lutter contre cette maladie dévastatrice.

3)    Le potentiel des composés chimiques qui perturbent la production de protéines comme médicaments contre la cachexie cancéreuse et la croissance tumorale –  La cachexie est un syndrome débilitant caractérisé par une perte rapide de la masse musculaire.  Elle se présente chez les patients atteints de cancer, du SIDA ou d’infections chroniques.  En fait, 50 % de la mortalité imputée au cancer est due aux conséquences qui lui sont associées (réduction de la qualité de vie ou de la réponse à la chimiothérapie) et pourtant, aucun traitement n’est efficace.  Récemment, nous avons démontré que de faibles concentrations de  composés chimiques qui perturbent la synthèse des protéines dans la cellule sont capables de prévenir l’atrophie musculaire induite par le cancer.  Ces mêmes produits bloquent aussi la croissance tumorale.  Nous avons démontré l’efficacité de ces médicaments à bloquer l’expression de facteurs qui encouragent la cachexie (Di Marco et autres, 2005) par des méthodes in vitro (culture cellulaire) et in vivo (modèle de cachexie chez la souris) (Di Marco et autres, en révision).  Nous voulons soumettre ces composés à une étude clinique avec la collaboration de scientifiques en recherche fondamentale (au CRCG : J. Pelletier, M. Tremblay) et en recherche clinique (à l’Hôpital général juif : Dr N. McDonald).

Recherches en cours: 
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