LENA PALANIYAPPAN

J'ai reçu une formation en psychologie (BA) et en médecine (MBBS) en Inde et en psychiatrie (résidence) et en neuroimagerie (PhD) au Royaume-Uni. Mon intérêt pour la psychiatrie est né d'une expérience brève mais intense d'agitation (akathisie) et de perte de plaisir (anhédonie) après avoir pris de l'halopéridol en tant qu'étudiant en médecine. Je continue à être agité dans la quête de meilleurs traitements en soins psychiatriques, mais je n'ai aucune anhédonie à le faire.

Notre programme de recherche met l'accent sur l'exploitation des neurosciences pour éclairer les interventions précoces auprès des jeunes dans le besoin. La plupart des travaux de notre groupe à ce jour ont porté sur les maladies mentales graves telles que les troubles psychotiques, les troubles bipolaires et la dépression. Pour cela, nous adoptons une approche pragmatique : nous utilisons tous les outils accessibles et prometteurs (sans fidélité à une technologie particulière) et collaborons avec toutes les personnes qui apprécient l'urgence d'une intervention précoce en psychiatrie.

J'accueille les résidents qui souhaitent équilibrer les soins cliniques et les activités de recherche et les stagiaires qui souhaitent que leurs activités de recherche profitent aux soins cliniques. Je serai plus qu'heureux de partager les éléments intéressants d'une carrière universitaire clinique que les gens ne mettent jamais dans leur CV. PS : Palaniyappan se prononce comme PALA – NEE – APEN [tamoul].