Messages clés

•   Au sein des hôpitaux partenaires du Réseau de cancérologie Rossy, la radiothérapie est administrée au CUSM et à l’HGJ. Au cours des dernières années, ces deux hôpitaux ont systématiquement atteint les cibles nationales et provinciales en matière de radiothérapie. 

Contexte

Environ la moitié des patients atteints de cancer recevront un traitement de radiothérapie à un certain point de leur trajectoire de soins. Les délais avant l’amorce de la radiothérapie peuvent avoir des répercussions sur l’efficacité du traitement et les résultats de santé des patients.

Les cibles nationales et provinciales en matière de temps d’attente en radiothérapie sont utilisées depuis plus d’une décennie.

La norme provinciale liée au temps d’attente en radiothérapie veut qu’au moins 90 % des patients amorcent leur traitement de radiothérapie au cours des 28 jours suivant la date où le patient est « médicalement prêt » à être traité. Cette date signifie le moment où le radio-oncologue juge qu’un traitement de radiothérapie peut commencer.  C’est alors que la phase de préparation, comportant une simulation et les calculs nécessaires pour planifier le traitement, est lancée. 

Graphiques + Tableaux

Signification des résultats

Le CUSM et l’HGJ dépassent systématiquement tous deux la norme liée au temps d’attente en radiothérapie voulant que 90 % des patients amorçant un traitement de radiothérapie (tous types de cancer confondus) soient traités au cours des 28 jours suivant la date « médicalement prêt » à être traité. 

Parmi ces cibles de 28 jours, des priorités existent selon le type de cancer et le degré d’urgence du traitement (< 24 h, < 3 jours, < 14 jours et < 28 jours). 

Efforts déployés

Les services de radio-oncologie du CUSM et de l’HGJ surveillent leurs processus et veillent à ce que les patients soient non seulement traités au cours d’un délai de 28 jours, mais que les priorités liées au type et au degré d’urgence de leur cancer soient prises en compte. 

Notes