Nouvelle publication collaborative du laboratoire Kazak

Le laboratoire du Pr Lawrence Kazak, du Département de biochimie, vient de publier un article intitulé "ADRA1A-G⍺q signalling potentiates adipocyte thermogenesis through CKB and TNAP" dans la revue Nature Metabolism, sur un projet dirigé par Janane Rahbani, stagiaire postdoctoral.

Quelle est la découverte la plus importante de cet article ?

La vision conventionnelle de l'activation de la thermogenèse des adipocytes indique que ceci passe par la stimulation des récepteurs adrénergiques (codés par ADRB3), la signalisation par l'AMP cyclique et la thermogenèse par la protéine de découplage 1 (UCP1). Nous constatons ici que l'activation du récepteur alpha-adrénergique (codé par ADRA1A) potentialise la thermogenèse par l'axe AMP cyclique-UCP1 en déclenchant une voie parallèle de thermogenèse appelée le cycle de la créatine futile.

 

Comment cette découverte contribue-t-elle à faire progresser la science du cancer ?

Étant donné que la thermogenèse nécessite la combustion de carburants métaboliques, l'activation de la thermogenèse de la graisse brune pourrait concurrencer les nutriments que les cellules cancéreuses utilisent pour favoriser leur prolifération.

 

Avec quelles autres institutions avez-vous collaboré pour cette étude ?

Nous avons eu de nombreux collaborateurs pour ce projet : l'Université de Birmingham, l'Université de Pennsylvanie, l'Université de Copenhague, l'Institut de Recherche du Maine Medical Center, le Joslin Diabetes Center de la Harvard Medical School, le Beth Israel Deaconess Medical Center de la Harvard Medical School, l'Université de Californie, Davis, la Washington University School of Medicine, l'Université Rutgers, la Johns Hopkins University School of Medicine, le National Institute of Diabetes and Digestive and Kidney Diseases du National Institute of Health, et l'Université d'Aarhus.

 

Lire l'article complet en suivant ce lien : https://www.nature.com/articles/s42255-022-00667-w

Remarque : cet article a été publié précédemment sur le site Web de l'Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman.

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