Les personnes qui offrent le mentorat tout comme celles qui le reçoivent doivent comprendre que le temps maximal qu’une mentore ou un mentor peut consacrer à la relation de mentorat sera de 30 heures par année scolaire (de septembre à mai).
Les parties signeront une entente de mentorat pour établir les attentes en ce qui a trait à certaines questions, comme les engagements en matière de temps, les normes de communication et la confidentialité. Les parties disposeront d’une « période d’essai » au cours de laquelle l’une ou l’autre pourra mettre fin à la relation de mentorat sans avoir à fournir de raisons ou d’explications.
Il est important que chacun comprenne que le rôle des mentores et mentors n’est pas de porter un jugement sur la qualité du travail ou du rendement universitaire de la personne mentorée. La mentore ou le mentor ne peut pas, par exemple, jouer un rôle dans l’examen des dossiers préliminaires de renouvellement de mandat ou de permanence d’une personne mentorée ou formuler des commentaires sur ceux-ci. Dans le même ordre d’idées, il convient de souligner qu’une relation de mentorat empêcherait normalement une mentore ou un mentor de siéger au comité de renouvellement de mandat ou de permanence de la personne qu’elle mentore, en raison d’un conflit d’intérêts.