Des chercheurs de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal (INM) ont identifié de nouvelles mutations génétiques qui causent une forme de paraplégie spastique familiale (PSF), une étape de plus dans les efforts visant à traiter cette maladie invalidante.
On estime qu’entre deux et dix personnes sur 100 000 de l’ensemble de la population sont atteintes de cette maladie caractérisée par une faiblesse et une spasticité des membres inférieurs. La PSF est causée par des mutations héritées de l’un ou des deux parents.