Une équipe de recherche du Centre de génomique et politiques (CGP) de l’Université McGill vient de lancer un guide unique en son genre pour aider les prestataires de soins du Canada à offrir aux adultes intersexes des soins plus inclusifs et respectueux dans le cadre d’une communication affirmative.



Une équipe de recherche de l’Université McGill a mis au point un outil d’intelligence artificielle capable de détecter des marqueurs de maladies jusqu’alors invisibles à l’intérieur des cellules individuelles.
Dans une étude publiée dans la revue Nature Communications, les scientifiques expliquent comment l’outil, appelé DOLPHIN, pourrait un jour être utilisé pour détecter plus tôt les maladies et orienter les options de traitement.

Jérôme Fortin, Paul Masset, et Simon Thebault ont reçu le prix Futurs leaders canadiens de la recherche sur le cerveau décerné par Brain Canada pour leurs recherches dans les domaines de la cognition cérébrale, du cancer du cerveau et des handicaps neurologiques.

Selon une étude menée par l’Université McGill, l’accès à des services de répit pour les aidantes et aidants familiaux triplerait pratiquement les chances des personnes recevant des soins palliatifs de mourir à domicile.


Une étude menée par une équipe de l’Université McGill a montré que les personnes qui survivent à une agression sexuelle dans les régions rurales et éloignées du nord-ouest de l’Ontario se heurtent à des obstacles systémiques lorsqu’elles cherchent à obtenir du soutien médico-légal.

Des scientifiques de l’Université McGill et de l’Institut Douglas ont trouvé deux types de cellules cérébrales qui sont altérées chez les personnes souffrant de dépression.
L’étude, publiée dans Nature Genetics, ouvre la voie à la mise au point de nouveaux traitements ciblant ces cellules et approfondit notre compréhension de la dépression, l’une des principales causes d’invalidité dans le monde qui touche plus de 264 millions de personnes.

Simon Roy, professeur adjoint au Département de pathologie, est l'un des quatre cliniciens-chercheurs en début de carrière à travers le Canada à recevoir le prix 2025 pour cliniciens-chercheurs par le Réseau des centres d’oncologie du Marathon de l’espoir (MOHCCN).

Selon des chercheuses et chercheurs de l’Université McGill, les substances chimiques utilisées à la place du bisphénol A (BPA) dans les emballages alimentaires peuvent avoir des effets nocifs sur les cellules ovariennes humaines.
L’équipe de recherche s’est penchée sur plusieurs substances chimiques couramment utilisées dans les étiquettes de prix apposées sur les emballages de viande, de poisson, de fromage et de fruits et légumes, et a mis en évidence des signes précurseurs d’une toxicité potentielle.

Une nouvelle étude révèle que la gravité des acouphènes dépendrait de l’humeur, de la qualité du sommeil et même de certains traits de personnalité.
Les acouphènes sont des sifflements ou des bourdonnements persistants dans les oreilles, qui touchent environ 14 % des adultes dans le monde. Ils sont liés à la perte auditive, et leurs effets diffèrent d’une personne à l’autre.
Afin de mieux comprendre leurs répercussions, une équipe de recherche de l’Université McGill a mis au point un modèle prédictif, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur à Paris.

Selon une nouvelle étude, une alimentation riche en sel déclencherait une inflammation du cerveau qui ferait augmenter la tension artérielle.

Des chercheurs de l’Université McGill ont mis au point un outil numérique utilisé pour réduire en toute sécurité la consommation de médicaments potentiellement inutiles, voire nocifs. Ils en détiennent également la licence.

La médecine moderne est en grande partie réactive : elle intervient généralement une fois les symptômes apparus. Mais une nouvelle étude émanant de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (L’Institut) et de l’Université McGill ouvre la voie à une approche plus proactive — où les signes silencieux d’une infection peuvent être détectés avant même que l’on se sente malade.

S’appuyant sur une étude phare au cours de laquelle on a suivi des Québécois et Québécoises pendant 25 ans, de l’enfance à l’âge adulte, une équipe de recherche de l’Université McGill a cerné deux modèles d’apparition des idées suicidaires ainsi que les signes précurseurs qui, souvent, passent inaperçus.
Les idées suicidaires sont de plus en plus courantes chez les jeunes, mais leur installation et les symptômes de santé mentale qui, souvent, les précèdent sont mal compris, expliquent les scientifiques.